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JOURNAL  d’ARTISTE

Les mystères de l'âme

Temps de lecture: 3 minutes
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Aujourd'hui, je souhaite vous parler de Divine Adventure, du processus créatif qui a présidé à sa rédaction, des motivations qui m'ont poussé à écrire ce livre, de mes aspirations et des résultats que je pense avoir obtenus.

L'inspiration est venue d'une image lointaine, grise et floue, alors que je me promenais à Villa Borghese, en parlant au téléphone avec une amie, Paula. C'est à ce moment-là que j'ai eu une vision, petite mais significative : une ville près de la mer Baltique, blanche, linéaire et propre, la Baltique. Au départ, il n'y avait rien de ce qui s'est développé par la suite au fil de mon imagination, mais cette première lueur a laissé une nostalgie triste qui, pour des raisons évidentes, a pris une vie propre.

Mon but était d'explorer le concept de perfection, et surtout de critiquer notre société, qui nous impose une adhésion à des règles déguisées en "perfection". On nous dit que nous sommes à notre place et que nous ne sommes corrects que si nous sommes d'accord et conformes. En Chine, par exemple, il existe le score social, un système qui évalue l'adhésion des citoyens aux lois. À partir de là, la marche vers la perfection et la robe blanche est courte. C'est ce monde que j'ai voulu peindre avec Baltica, KS et Kato : un endroit où il n'y a plus de monnaie, plus de formes traditionnelles de gouvernement, mais seulement un auto-gouvernement imposé par la machine, où l'éternité de l'âme devient le seul mirage, la seule chose qui compte. J'ai volontairement mélangé religion, sociologie et technologie pour refléter ce que j'observe dans notre société, de plus en plus attachée aux règles, au politiquement correct, à la démagogie, comme diraient les orateurs grecs.

Et quelle entité est plus démagogique que la machine qui sait tout, qui représente la moyenne des connaissances humaines, le centre parfait, le néant le plus absolu et le plus éternel, déjà modelé et immuable ? Dans ce contexte, j'ai créé un personnage, un garçon nommé Overton, comme la fenêtre d'Overton, un principe sociologique qui décrit le domaine en constante évolution de l'acceptable. Overton vient des profondeurs de l'imperfection, du désert, de la douleur, de la mort. Il se laisse facilement tromper par un simple mensonge : "Je peux vous faire rencontrer votre mère morte". Un mensonge qui, dans le contexte de l'histoire, semble absurde, mais qui, en réalité, n'est pas si différent des promesses de certaines religions.

Nous sommes fragiles, la mort nous fait peur, la perte de nos proches ou de nous-mêmes nous terrifie. Mais pas Overton. Il a déjà tout perdu, et de sa douleur, j'ai voulu forger un héros, un garçon qui dépasse les enseignements du maître, devenant à son tour maître non seulement de lui-même, mais aussi de sa génération. Une génération qui n'a pas su désirer, mais qui maintenant, grâce à l'amour d'une mère, au mystère de la vie, à la résilience tragique d'un maître qui vivait dans l'illusion, entreprend un voyage vers l'horizon.

Ce livre est un espoir, un désir de préparer la nouvelle génération aux défis spirituels et existentiels qu'elle devra affronter. L'avenir promet des merveilles, mais ces merveilles technologiques ont un coût. Que reste-t-il de l'humanité quand les machines la dépassent en tout ? L'âme ? Notre moi ? Nos désirs ? Et au-delà des désirs, qu'y a-t-il ? L'amour ? Telles sont les questions que j'ai voulu explorer dans ce livre, pour comprendre une partie de moi-même et tracer un chemin au-delà duquel j'espérais découvrir une autre partie de moi.

Et c'est ce qui s'est passé. La Divine Aventure m'a ouvert le cœur et l'âme, et je remercie encore le moment où j'ai décidé de l'écrire. C'est un texte dense et parfois complexe, mais plein d'un enthousiasme qu'il sera difficile d'égaler. Si vous l'avez lu, je vous remercie. Si vous ne l'avez pas encore lu, je vous recommande de l'acheter, de le conserver et de le lire quand vous en aurez le temps. Et si vous avez un enfant, un petit-enfant ou un jeune qui s'apprête à affronter l'océan de la vie, je suis sûr que, comme pour les centaines de personnes qui ont laissé un commentaire positif, il touchera des cordes sensibles qui, je l'espère, les accompagneront au fil du temps.

Jusqu'à la prochaine page.

Flavio.

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